METRONIDAZOLE MACO PHARMA 0,5 POUR CENT (500 mg-100 ml), solution pour perfusion, boîte de 1 poche de 100 ml
Retiré du marché le : 14/11/2016
Dernière révision : 15/12/2003
Taux de TVA : 2.1%
Laboratoire exploitant : MACOPHARMA
- Elles procèdent de l'activité antibactérienne et antiparasitaire du métronidazole et de ses caractéristiques pharmacocinétiques. Elles sont limitées aux infections dues aux germes définis comme sensibles.
. Traitement curatif des infections médico-chirurgicales à germes anaérobies sensibles ;
. Prophylaxie des infections post-opératoires à germes anaérobies sensibles lors d'intervention chirurgicale digestive ou proctologique, en association à un antibiotique actif sur les germes aérobies ;
. Amibiases sévères de localisation intestinale ou hépatique.
- Le métronidazole injectable doit être réservé aux malades pour lesquels la voie orale est inutilisable.
- Il convient de tenir compte des recommandations officielles concernant l'utilisation appropriée des antibactériens.
. Traitement curatif des infections médico-chirurgicales à germes anaérobies sensibles ;
. Prophylaxie des infections post-opératoires à germes anaérobies sensibles lors d'intervention chirurgicale digestive ou proctologique, en association à un antibiotique actif sur les germes aérobies ;
. Amibiases sévères de localisation intestinale ou hépatique.
- Le métronidazole injectable doit être réservé aux malades pour lesquels la voie orale est inutilisable.
- Il convient de tenir compte des recommandations officielles concernant l'utilisation appropriée des antibactériens.
CONTRE-INDIQUE :
Ce médicament ne doit jamais être utilisé en cas d'hypersensibilité aux imidazolés.
DECONSEILLE :
- Ce médicament ne doit généralement pas être utilisé en association avec le disulfirame ou avec l'alcool ou avec des médicaments contenant de l'alcool.
- Allaitement : éviter l'administration du métronidazole pendant la lactation, en raison du passage dans le lait.
Ce médicament ne doit jamais être utilisé en cas d'hypersensibilité aux imidazolés.
DECONSEILLE :
- Ce médicament ne doit généralement pas être utilisé en association avec le disulfirame ou avec l'alcool ou avec des médicaments contenant de l'alcool.
- Allaitement : éviter l'administration du métronidazole pendant la lactation, en raison du passage dans le lait.
- Interrompre le traitement en cas d'ataxie, de vertiges ou de confusion mentale.
- Tenir compte du risque d'aggravation de l'état neurologique chez les malades atteints d'affections neurologiques centrales et périphériques sévères, fixées ou évolutives.
- Eviter les boissons alcoolisées (effet "antabuse").
- Aucune suspicion de cancérogénicité n'existe chez l'homme bien que ce produit se soit révélé carcinogène chez une certaine espèce de souris, mais non chez le rat et le hamster.
- Contrôler la formule leucocytaire en cas d'antécédents de dyscrasie sanguine ou de traitement à forte dose et/ou de traitement prolongé. En cas de leucopénie, l'opportunité de la poursuite du traitement dépend de la gravité de l'infection.
- Tenir compte de la teneur en sels de sodium.
- Grossesse : chez l'animal, le métronidazole ne s'est pas montré tératogène ou foetotoxique. Les observations de plusieurs centaines de grossesses exposées au métronidazole au cours du premier trimestre n'ont pas mis en évidence d'effet malformatif particulier. L'étude d'effectifs équivalents de patientes traitées au-delà du premier trimestre ne met pas en évidence d'effet foetotoxique. En conséquence, la grossesse ne représente pas une contre-indication à l'utilisation du métronidazole en cas de nécessité.
- Tenir compte du risque d'aggravation de l'état neurologique chez les malades atteints d'affections neurologiques centrales et périphériques sévères, fixées ou évolutives.
- Eviter les boissons alcoolisées (effet "antabuse").
- Aucune suspicion de cancérogénicité n'existe chez l'homme bien que ce produit se soit révélé carcinogène chez une certaine espèce de souris, mais non chez le rat et le hamster.
- Contrôler la formule leucocytaire en cas d'antécédents de dyscrasie sanguine ou de traitement à forte dose et/ou de traitement prolongé. En cas de leucopénie, l'opportunité de la poursuite du traitement dépend de la gravité de l'infection.
- Tenir compte de la teneur en sels de sodium.
- Grossesse : chez l'animal, le métronidazole ne s'est pas montré tératogène ou foetotoxique. Les observations de plusieurs centaines de grossesses exposées au métronidazole au cours du premier trimestre n'ont pas mis en évidence d'effet malformatif particulier. L'étude d'effectifs équivalents de patientes traitées au-delà du premier trimestre ne met pas en évidence d'effet foetotoxique. En conséquence, la grossesse ne représente pas une contre-indication à l'utilisation du métronidazole en cas de nécessité.
- Rares, cependant peuvent être observés : des troubles digestifs bénins : nausées, goût métallique dans la bouche, anorexie, crampes épigastriques, vomissements, diarrhées.
- Exceptionnellement :
. des signes cutanéomuqueux : urticaire, bouffées vasomotrices, prurit ;
. des signes neuropsychiques : céphalées, vertiges, confusion mentale, convulsions ;
. des cas de pancréatites réversibles à l'arrêt du traitement.
- A forte posologie et/ou en cas de traitement prolongé : des leucopénies, des neuropathies sensitives périphériques, qui ont toujours régressé à l'arrêt du traitement.
Par ailleurs, on peut observer une coloration brun-rougeâtre des urines, due à la présence de pigments hydrosolubles provenant du métabolisme du produit.
- Exceptionnellement :
. des signes cutanéomuqueux : urticaire, bouffées vasomotrices, prurit ;
. des signes neuropsychiques : céphalées, vertiges, confusion mentale, convulsions ;
. des cas de pancréatites réversibles à l'arrêt du traitement.
- A forte posologie et/ou en cas de traitement prolongé : des leucopénies, des neuropathies sensitives périphériques, qui ont toujours régressé à l'arrêt du traitement.
Par ailleurs, on peut observer une coloration brun-rougeâtre des urines, due à la présence de pigments hydrosolubles provenant du métabolisme du produit.
Grossesse :
Chez l'animal, le métronidazole ne s'est pas montré tératogène ou foetotoxique. Les observations de plusieurs centaines de grossesses exposées au métronidazole au cours du premier trimestre n'ont pas mis en évidence d'effet malformatif particulier. L'étude d'effectifs équivalents de patientes traitées au-delà du premier trimestre ne met pas en évidence d'effet foetotoxique. En conséquence, la grossesse ne représente pas une contre-indication à l'utilisation du métronidazole en cas de nécessité.
Allaitement :
Eviter l'administration du métronidazole pendant la lactation, en raison du passage dans le lait.
Chez l'animal, le métronidazole ne s'est pas montré tératogène ou foetotoxique. Les observations de plusieurs centaines de grossesses exposées au métronidazole au cours du premier trimestre n'ont pas mis en évidence d'effet malformatif particulier. L'étude d'effectifs équivalents de patientes traitées au-delà du premier trimestre ne met pas en évidence d'effet foetotoxique. En conséquence, la grossesse ne représente pas une contre-indication à l'utilisation du métronidazole en cas de nécessité.
Allaitement :
Eviter l'administration du métronidazole pendant la lactation, en raison du passage dans le lait.
ASSOCIATIONS DECONSEILLEES :
- Disulfirame : bouffées délirantes ou un état confusionnel.
- Alcool : effet antabuse (chaleur, rougeur, vomissements, tachycardie). Eviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l'alcool.
ASSOCIATIONS NECESSITANT DES PRECAUTIONS D'EMPLOI :
Anticoagulants oraux (décrit pour la warfarine) : augmentation de l'effet des anticoagulants oraux et du risque hémorragique (diminution de leur catabolisme hépatique). Contrôler plus fréquemment le taux de prothrombine et surveiller l'INR. Adapter la posologie des anticoagulants oraux pendant le traitement par le métronidazole et 8 jours après son arrêt.
ASSOCIATION A PRENDRE EN COMPTE :
5-Fluorouracile : augmentation de la toxicité du 5-Fluorouracile par diminution de sa clairance.
EXAMENS PARACLINIQUES :
Le métronidazole peut immobiliser les tréponèmes et donc faussement positiver le test de Nelson.
PROBLEMES PARTICULIERS DU DESEQUILIBRE DE L'INR :
De nombreux cas d'augmentation de l'activité des anticoagulants oraux ont été rapportés chez des patients recevant des antibiotiques. Le contexte infectieux ou inflammatoire marqué, l'âge et l'état général du patient apparaissent comme des facteurs de risque. Dans ces circonstances, il apparaît difficile de faire la part entre la pathologie infectieuse et son traitement dans la survenue du déséquilibre de l'INR. Cependant, certaines classes d'antibiotiques sont davantage impliquées : il s'agit notamment des fluoroquinolones, des macrolides, des cyclines, du cotrimoxazole et de certaines céphalosporines.
- Disulfirame : bouffées délirantes ou un état confusionnel.
- Alcool : effet antabuse (chaleur, rougeur, vomissements, tachycardie). Eviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l'alcool.
ASSOCIATIONS NECESSITANT DES PRECAUTIONS D'EMPLOI :
Anticoagulants oraux (décrit pour la warfarine) : augmentation de l'effet des anticoagulants oraux et du risque hémorragique (diminution de leur catabolisme hépatique). Contrôler plus fréquemment le taux de prothrombine et surveiller l'INR. Adapter la posologie des anticoagulants oraux pendant le traitement par le métronidazole et 8 jours après son arrêt.
ASSOCIATION A PRENDRE EN COMPTE :
5-Fluorouracile : augmentation de la toxicité du 5-Fluorouracile par diminution de sa clairance.
EXAMENS PARACLINIQUES :
Le métronidazole peut immobiliser les tréponèmes et donc faussement positiver le test de Nelson.
PROBLEMES PARTICULIERS DU DESEQUILIBRE DE L'INR :
De nombreux cas d'augmentation de l'activité des anticoagulants oraux ont été rapportés chez des patients recevant des antibiotiques. Le contexte infectieux ou inflammatoire marqué, l'âge et l'état général du patient apparaissent comme des facteurs de risque. Dans ces circonstances, il apparaît difficile de faire la part entre la pathologie infectieuse et son traitement dans la survenue du déséquilibre de l'INR. Cependant, certaines classes d'antibiotiques sont davantage impliquées : il s'agit notamment des fluoroquinolones, des macrolides, des cyclines, du cotrimoxazole et de certaines céphalosporines.
Administration en perfusion veineuse lente, à raison d'une poche de 100 ml (500 mg) passée en 30 à 60 minutes.
- Traitement des infections à germes anaérobies :
. Adultes : 1 à 1,5 g par jour en 2 ou 3 perfusions intraveineuses.
. Enfants : 20 à 30 mg/kg/jour en 2 ou 3 perfusions intraveineuses.
Le relais peut être pris par voie orale, à la même posologie, lorsque l'état du malade le permet.
- Prophylaxie des infections post-opératoires en chirurgie : l'antibioprophylaxie doit être de courte durée, le plus souvent limitée à la période per-opératoire, 24 heures parfois, mais jamais plus de 48 heures.
. Adultes : 30 minutes avant le début de l'intervention, injection intraveineuse d'une dose unique de 1 g.
. Enfant : 30 minutes avant le début de l'intervention, injection intraveineuse d'une dose unique de 20 à 40 mg/kg.
- Amibiase :
. Adultes : 1,50 g par jour (soit 3 perfusions intraveineuses de 500 mg par jour).
. Enfants : 30 à 40 mg/kg/jour en perfusions intraveineuses.
Dans l'amibiase hépatique, au stade abcédé, l'évacuation de l'abcès doit être effectuée conjointement au traitement par le métronidazole.
- Traitement des infections à germes anaérobies :
. Adultes : 1 à 1,5 g par jour en 2 ou 3 perfusions intraveineuses.
. Enfants : 20 à 30 mg/kg/jour en 2 ou 3 perfusions intraveineuses.
Le relais peut être pris par voie orale, à la même posologie, lorsque l'état du malade le permet.
- Prophylaxie des infections post-opératoires en chirurgie : l'antibioprophylaxie doit être de courte durée, le plus souvent limitée à la période per-opératoire, 24 heures parfois, mais jamais plus de 48 heures.
. Adultes : 30 minutes avant le début de l'intervention, injection intraveineuse d'une dose unique de 1 g.
. Enfant : 30 minutes avant le début de l'intervention, injection intraveineuse d'une dose unique de 20 à 40 mg/kg.
- Amibiase :
. Adultes : 1,50 g par jour (soit 3 perfusions intraveineuses de 500 mg par jour).
. Enfants : 30 à 40 mg/kg/jour en perfusions intraveineuses.
Dans l'amibiase hépatique, au stade abcédé, l'évacuation de l'abcès doit être effectuée conjointement au traitement par le métronidazole.
Absence d'information dans l'AMM.
Le céfuroxime est physiquement et chimiquement compatible avec le métronidazole. Les médicaments suivants sont physiquement compatibles en termes de pH et d'apparence au cours de la durée normale d'administration, mais leur compatibilité chimique n'a pas été démontrée : amikacine (sulfate), ampicilline (sel sodique), céfazoline (sel sodique), clindamycine (phosphate), gentamycine (sulfate), hydrocortisone (succinate sodique), latamoxef (sel disodique), nétilmicine (sulfate), tobramycine (sulfate). Chez les patients maintenus en perfusion continue, Métronidazole 0,5% Maco Pharma peut être dilué dans des volumes appropriés de solution de chlorure de sodium à 0,9%, de solution mixte isotonique de chlorure de sodium et de glucose, de solution de glucose à 5% ou de solution de chlorure de potassium à 20 ou 40 mmol/L.
En aucun cas, Métronidazole 0,5% Maco Pharma ne doit être mélangé aux médicaments suivants : céfamandole (sel sodique), céfoxitine (sel sodique), solutions de glucose à 10% et plus concentrées, solution de Ringer Lactate, pénicilline G (sel sodique) et plus généralement à tout médicament ou diluant non cité à l'alinéa précédent.
En aucun cas, Métronidazole 0,5% Maco Pharma ne doit être mélangé aux médicaments suivants : céfamandole (sel sodique), céfoxitine (sel sodique), solutions de glucose à 10% et plus concentrées, solution de Ringer Lactate, pénicilline G (sel sodique) et plus généralement à tout médicament ou diluant non cité à l'alinéa précédent.
Sans objet.
ANTIBIOTIQUE de la famille des nitro-5-imidazolés.
(J : Anti-infectieux).
SPECTRE D'ACTIVITE ANTIMICROBIENNE :
Les concentrations critiques séparent les souches sensibles des souches de sensibilité intermédiaire et ces dernières, des résistantes :
S < = 4 mg/L et R > 4 mg/L.
La prévalence de la résistance acquise peut varier en fonction de la géographie et du temps pour certaines espèces. Il est donc utile de disposer d'informations sur la prévalence de la résistance locale, surtout pour le traitement d'infections sévères. Ces données ne peuvent apporter qu'une orientation sur les probabilités de la sensibilité d'une souche bactérienne à cet antibiotique.
Lorsque la variabilité de la prévalence de la résistance en France est connue (> 10%) (valeurs extrêmes) pour une espèce bactérienne, elle est indiquée ci-dessous :
ESPECES SENSIBLES :
- Aérobies à Gram négatif :
Helicobacter pylori (30%).
- Anaérobies :
. Bacteroïdes fragilis.
. Bifidobacterium (60-70%).
. Bilophila.
. Clostridium.
. Clostridium difficile.
. Clostridium perfringens.
. Eubacterium (20-30%).
. Fusobactenium.
. Peptostreptococcus.
. Prevotella.
. Prophyromonas.
. Veillonella.
ESPECES RESISTANTES :
- Aérobies à Gram positif :
Actinomyces.
- Anaérobies :
. Mobiluncus.
. Propionibacterium acnes.
ACTIVITE ANTIPARASITAIRE :
- Entamoeba histolytica.
- Giardia intestinalis.
- Trichomonas vaginalis.
(J : Anti-infectieux).
SPECTRE D'ACTIVITE ANTIMICROBIENNE :
Les concentrations critiques séparent les souches sensibles des souches de sensibilité intermédiaire et ces dernières, des résistantes :
S < = 4 mg/L et R > 4 mg/L.
La prévalence de la résistance acquise peut varier en fonction de la géographie et du temps pour certaines espèces. Il est donc utile de disposer d'informations sur la prévalence de la résistance locale, surtout pour le traitement d'infections sévères. Ces données ne peuvent apporter qu'une orientation sur les probabilités de la sensibilité d'une souche bactérienne à cet antibiotique.
Lorsque la variabilité de la prévalence de la résistance en France est connue (> 10%) (valeurs extrêmes) pour une espèce bactérienne, elle est indiquée ci-dessous :
ESPECES SENSIBLES :
- Aérobies à Gram négatif :
Helicobacter pylori (30%).
- Anaérobies :
. Bacteroïdes fragilis.
. Bifidobacterium (60-70%).
. Bilophila.
. Clostridium.
. Clostridium difficile.
. Clostridium perfringens.
. Eubacterium (20-30%).
. Fusobactenium.
. Peptostreptococcus.
. Prevotella.
. Prophyromonas.
. Veillonella.
ESPECES RESISTANTES :
- Aérobies à Gram positif :
Actinomyces.
- Anaérobies :
. Mobiluncus.
. Propionibacterium acnes.
ACTIVITE ANTIPARASITAIRE :
- Entamoeba histolytica.
- Giardia intestinalis.
- Trichomonas vaginalis.
DISTRIBUTION :
L'injection de 500 mg de métronidazole par voie veineuse donne lieu après perfusion unique à un pic moyen de 18 mg/L à la fin de la perfusion de 20 minutes. Le renouvellement de la perfusion :
- toutes les 8 heures donne lieu à un pic moyen identique,
- toutes les 12 heures à un pic moyen de 13 mg/L.
La demi-vie plasmatique est de 8 à 10 heures.
La liaison aux protéines sériques du métronidazole est faible (< 10%).
La diffusion est rapide et importante dans les poumons, les reins, le foie, la peau, la bile, le LCR, la salive, le liquide séminal, les sécrétions vaginales. Il traverse la barrière placentaire et passe dans le lait maternel.
BIOTRANSFORMATION :
Le métronidazole donne essentiellement deux métabolites non conjugués ayant une activité antibactérienne (10 à 30%).
ELIMINATION :
Le métronidazole se concentre essentiellement au niveau du foie et dans la bile, sa concentration colique est faible.
L'excrétion se fait surtout par voie urinaire, (40 à 70% dont 20% environ sous forme inchangée), entraînant une coloration des urines en brun-rougeâtre.
Chez l'insuffisant rénal, la demi-vie d'élimination reste inchangée et il n'est pas nécessaire de modifier la posologie. En cas d'hémodialyse, le métronidazole est rapidement éliminé et la demi-vie est réduite à 2 heures 30.
L'injection de 500 mg de métronidazole par voie veineuse donne lieu après perfusion unique à un pic moyen de 18 mg/L à la fin de la perfusion de 20 minutes. Le renouvellement de la perfusion :
- toutes les 8 heures donne lieu à un pic moyen identique,
- toutes les 12 heures à un pic moyen de 13 mg/L.
La demi-vie plasmatique est de 8 à 10 heures.
La liaison aux protéines sériques du métronidazole est faible (< 10%).
La diffusion est rapide et importante dans les poumons, les reins, le foie, la peau, la bile, le LCR, la salive, le liquide séminal, les sécrétions vaginales. Il traverse la barrière placentaire et passe dans le lait maternel.
BIOTRANSFORMATION :
Le métronidazole donne essentiellement deux métabolites non conjugués ayant une activité antibactérienne (10 à 30%).
ELIMINATION :
Le métronidazole se concentre essentiellement au niveau du foie et dans la bile, sa concentration colique est faible.
L'excrétion se fait surtout par voie urinaire, (40 à 70% dont 20% environ sous forme inchangée), entraînant une coloration des urines en brun-rougeâtre.
Chez l'insuffisant rénal, la demi-vie d'élimination reste inchangée et il n'est pas nécessaire de modifier la posologie. En cas d'hémodialyse, le métronidazole est rapidement éliminé et la demi-vie est réduite à 2 heures 30.
Sans objet.
Sans objet.
- vérifier que la solution est limpide ;
- vérifier l'ouverture de l'anneau de suspension ;
- vérifier que la poche ne présente pas de fuite, éliminer toute poche endommagée ou partiellement utilisée, ou dont l'anneau de suspension ne serait pas ouvert ;
- Mode d'utilisation de la poche :
. retirer la poche du suremballage. Utiliser immédiatement après ouverture ;
. enlever le protecteur du site de perfusion ;
. connecter le perfuseur à la poche ;
. l'adjonction de médicaments est réalisée par le site d'injection.
- vérifier l'ouverture de l'anneau de suspension ;
- vérifier que la poche ne présente pas de fuite, éliminer toute poche endommagée ou partiellement utilisée, ou dont l'anneau de suspension ne serait pas ouvert ;
- Mode d'utilisation de la poche :
. retirer la poche du suremballage. Utiliser immédiatement après ouverture ;
. enlever le protecteur du site de perfusion ;
. connecter le perfuseur à la poche ;
. l'adjonction de médicaments est réalisée par le site d'injection.
Liste I.
Réservé à l'usage hospitalier.
Réservé à l'usage hospitalier.
Absence d'information dans l'AMM.